DREAM OF CALIFORNICATION
10 TRUCS A SAVOIR SUR Eli
Le tatouage, les graffitis. Eli a toujours été doué pour le dessin. Sa mère dit souvent que, même très jeune, il mariait déjà les couleurs à merveille. Ca le fait lever les yeux au ciel. Il n'a jamais copié les œuvres des autres. Certes, il s'est inspiré de certains artistes mais l'imitation ça l'emmerde. Il a commencé à graffer sur les murs de San Diego lorsqu'il avait 15 ans. Pas toujours très prudent (ou très malin) il a fait deux petits tours au poste de police. Ca ne lui a pas réellement remis les idées en place. Il s'est mis au tatouage il y a trois ans. D'abord uniquement sur lui ou sur des potes, il bosse depuis deux ans en tant qu'apprenti dans un salon. Il a peut-être trouvé sa voie mais ça ne l'empêche pas de prendre ses bombes de peinture et son skate en pleine nuit pour aller taguer
Le skate, le surf. Eli aime la glisse, la marche il ne connaît pas vraiment. Jamais sans son skate, jamais sans blessure, il tente tout et tant pis si la chute est rude. Plus on essaie, plus on a de chances de réussir, pas vrai ? Il est le même dans l'eau. Sa planche est à son image, les dessins il les a créés lui-même. Agressif, instinctif, aérien, il sait enchaîner les justes gestes pour profiter de chaque vague. Trop téméraire, les wipe out sont nombreux et il peut compte sur ses potes pour filmer ses tentatives infructueuses.
La famille. Eli vient d'une famille plutôt classique, un père, une mère, deux grands frères, pas de gros drame. Les affaires marchent bien pour le patriarche, ils n'ont pas à se plaindre. Ca l'ennuie le petit Eli, il veut plus, il veut du frisson et de l'extrême. Personne ne l'en empêche : tant qu'on se débrouille chez les Cohen, on suit le chemin que l'on souhaite. Seul détail : sa famille juive espère bien qu'un jour il aura un travail convenable (pensant que sa folie n'est due qu'à sa jeunesse) et qu'il se trouvera une jolie petite juive. Sa mère lui arrange régulièrement des rendez-vous avec les filles de telle ou telle famille juive respectée. Il adore évidemment.
Les potes. Eli est rarement seul. Ses potes sont sa deuxième famille. Ils surfent, ils skatent, ils boivent ensemble. Rien de compliqué. Que du délire. Le jeune homme n'est pas exactement du genre sentimental, mais il a besoin d'eux, c'est évident.
Les études. Eli n'a jamais été le plus brillant de sa classe, il n'est même pas le plus brillant de sa bande de potes. Il est pourtant loin d'être stupide. Il pige vite le petit. Seulement, les études ne sont pas faites pour lui. Apprendre par cœur, ça a toujours été un calvaire. Il ne se force pas. Si quelque chose l'intéresse alors il le retiendra sans même s'en rendre compte mais sinon on se retrouve le domaine de l'impossible. Ce n'est pas qu'il n'est pas capable de se concentrer, non. Ca, il le peut. Lorsqu'il dessine par exemple, il fait totalement abstraction du monde extérieur, on le croirait presque autiste. Mais l'histoire ou les maths, très peu pour lui. A la limite il aimait bien la chimie : pouvoir faire exploser des trucs, c'est plutôt cool. C'est avec ce genre de remarques qu'il se fait souvent passer pour plus stupide qu'il ne l'est. Ca ne le dérange pas, au contraire. Etre sous-estimé, ça lui permet de surprendre.
Une fois le lycée terminé, sa décision de ne pas aller à l'université n'a choqué personne. Et il ne le regrette pas.
Les soirées. Eli passe rarement ses soirées seul dans son appart. C'est un noctambule très sociable. Il aime les fêtes sur la plage où l'on discute et fume auprès du feu, où l'on écoute les gens jouer de la guitare et chanter sous les étoiles. Il aime aussi les soirées pizza/jeux vidéos, c'est un gosse Eli. Il aime les soirées entre potes dans son salon pourri avec la musique qui hurle et les shots qui s'enchainent. Les boites, il aime moins ça. Ce n'est pas un grand danseur. Les pubs oui, ça lui ressemble plus. Mais bon, un peu d'ecsta et on le retrouve sur la piste en plein délire ou en très bonne compagnie.
L'amour. Eli peut être un petit merdeux, c'est vrai. Il aime la compagnie féminine et prend en général tout à la légère. Pourtant, il s'imagine bien dans une relation heureuse et monogame dans quelques années. Il aime l'exemple de ses parents : toujours ensemble après 30 ans de mariage. C'est beau.
Il n'a jusqu'à présent eu qu'une relation notable et il s'est fait avoir comme un con. Et, à dire vrai, il se fait encore avoir aujourd'hui : un petit coup de fil de la jeune femme lui demandant un service et il rapplique. Ses potes sont les premiers à se foutre de lui à ce sujet.
L'Europe. A part la Californie et le Mexique, Eli n'a pas vu grand chose et pour un aventurier comme lui c'est tout simplement inadmissible. Ce qu'il veut c'est faire un tour d'Europe avec simplement un sac à dos et son skate. Et il en parle de ce tour. Il en parle même trop. Ses amis et tout ceux qui le connaissent un minimum sont au courant de son plan mais personne ne le voit vraiment quitter sa côte Ouest natale. Il le fera, il en est sûr. Il faut juste mettre un peu d'argent de côté pour payer le billet d'avion c'est tout. Ouais c'est tout... Pas simple d'économiser.
Le vocabulaire. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'Eli a un vocabulaire très coloré. Lorsqu'il tombe de son skate ou de sa planche de surf ce n'est pas rare d'entendre des expressions de mécontentements plutôt originales.
C'est facile. Sa phrase fétiche. Eli fait tout sans effort, tout semble aisé à ses yeux. Et quand ça se complique et que nous ne sommes pas dans un de ses domaines de prédilections (c'est-à-dire le skate, le dessin ou le surf), il abandonne, il disparait, tout simplement. C'est facile.


HORS JEU
Pseudo oldfears. Prénom Iz. Où as-tu connu le forum? bazzart. Ton personnage est inventé. C'est qui ton pokémon préféré? Dracofeu Une suggestion ou un commentaire à nous communiquer ? j'aime déjà votre forum les gars. Le mot de la fin?   .