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 |  Sujet: l'incandescent. Sam 18 Jan - 22:52 | |
| Jimi Jep, Ockley  NOM : ockley PRENOM(S): jimi, jep. SURNOM(S): jim, jimbo. ÂGE: vingt et un ans. NE(E) LE: 06/12/1992 A: san diego, usa NATIONALITE: américaine TWITTER: @jimbo MAIL: jimockl@gmail.com
| ORIENTATION SEXUELLE: hétérosexuel. ETAT CIVIL: en couple avec sa gauche. ETUDES: pas de diplôme. pas d'étude. PROFESSION: fossoyeur. | | anton lisin & not -so- lucky | CARACTERE violent, fataliste, impulsif, direct, effronté, secret, destructeur, orageux, excessif, souvent vulgaire, indépendant
J'AIME la solitude, les nuits de pleine lune, l'odeur de la pluie, les films d'horreur, le skate, fumer, boire, les alcools forts, la provocation, la violence, bricoler.
J'AIME PAS être dans le noir, les endroits fermés, les filles sages, les jugements, le passée, la nostalgie, l'église, la justice, les contacts physiques.
TA PREMIERE CUITE à seize ans, lors d'une fête sur la plage.
TA PREMIERE CIGARETTE à quinze ans. il a jamais arrêté depuis.
TON PREMIER JOINT à quinze ans. il a jamais arrêté depuis.
TON PREMIER BAISER à quatorze ans. une fille qu'il trouvait jolie et qui faisait du skate comme personne.
TA PREMIERE FOIS à dix-huit ans. un moment plutôt gênant d'ailleurs. la gâchette facile, en somme.
L'ENDROIT LE PLUS COOL OU TU L'AS FAIT dans un lit. rien de plus extravagant.
AS-TU DEJA PRIS DES DROGUES "DURES" non.
TU SURFES ? non. mais il aime bien regarder les autre faire.
LE HEROS DE TON ENFANCE superman.
PERSONNAGE HISTORIQUE QUE TU MEPRISES LE PLUS? pas assez de culture pour ça.
LE FILM QUI T'A LE PLUS TOUCHE sleepers.
TON PLUS GROS DEFAUT le besoin de tout détruire.
LA QUALITE QUE TU PREFERES CHEZ UN HOMME l’indépendance.
LA QUALITE QUE TU PREFERES CHEZ UNE FEMME l'originalité.
LE PRESIDENT DE TES RÊVES la politique, il déteste.
TON POKEMON PREFERE ponyta.
UN MOT POUR RESUMER LE MONDE DANS LEQUEL TU VIS violent.
CROIS-TU EN LA POLITIQUE? non.
ET A L'ECOLOGIE? encore moins.
LIS-TU BEAUCOUP? juste parfois. de temps en temps. souvent en fait.
L'ARGENT POUR TOI C'EST... obsolète.
ET LA REUSSITE? avancer sans regarder en arrière.
SI TU AVAIS PU VIVRE A UNE AUTRE EPOQUE, CE SERAIT LAQUELLE ? la préhistoire. |
DREAM OF CALIFORNICATION1. Mauvais garçon, petite graine de délinquance, tu as connu l’enfer du camp de redressement, l’angoisse d’une porte qui grince et la peur des pas qui s’approchent. Tu as plus été victime qu’un réel danger, mais qu’importe. Ces deux ans t’ont marqué à jamais. Ils ont insufflé en toi des démons que tu peines à faire disparaitre depuis que tu es revenu à la civilisation, il y a cinq mois. Tu n’en parles jamais. Tu restes secret sur ces années de cauchemars qui ont fait disparaître le Jimi que tu étais à dix-neuf ans. Tu as même presque honte de ce passée si lourd, si pesant. Mais tu vis avec. Et peut-être bien que c’est pour ça que tu préfères souvent la compagnie des morts, des gens qui ne parlent jamais, qui n’existent plus.
2. Fossoyeur. C’est le seul truc que tu as trouvé quand tu es revenu à San-Diego. Tu avais changé, besoin d’air et de solitude. Tu avais surtout besoin d’un endroit qui te ferait oublier. Tu aurais certainement pu devenir barman, professeur de skate ou même guichetier au cinéma. Mais il y a toujours eu trop de monde dans ces endroits-là pour que tu t’y sentes vraiment à ta place. Là-bas, au cimetière, il n'y a que toi et les morts. C’est un peu glauque et tu sais bien que la plupart se demandent si tu n'es pas un peu cinglé pour faire ça de tes journées, mais tu t’en fiches. L’avis des gens t’importe peu. Ils peuvent changer de trottoir, les filles peuvent bien te regarder de haut, que tu n’y accorderas jamais d’importance. Tout ce qui compte pour toi, c’est d’être au calme et de trouver un semblant de paix d’âme.
3. Aussi étrange que cela puisse paraître aux yeux des autres, tu es réticent à l’idée de te dévêtir devant les gens, ou même simplement devant une fille. Ce qui pose d’énormes problèmes dans tes relations sentimentales (inexistantes, mais il est bon de le préciser). Tu vas te baigner que lorsqu’il fait nuit et que la plage est déserte, tu ne vas jamais à la piscine et tu dors même souvent habillé. Inconsciemment, t’as peut-être peur qu’on t’oblige encore à descendre ton pantalon. Ou alors, tu ne veux juste pas qu’on voit les étranges marques que tu as sur la peau. Des cicatrices du passé dont tu as honte.
4. Autrefois, tu étais un garçon plein de vie, prêt à t’embarquer dans les problèmes sans même regarder en arrière. Tu aimais rigoler, sortir avec tes potes, fumer des joints avec eux, jouer aux jeux vidéos, draguer les filles. Tu étais un peu brouillon, peut-être un peu dur avec tes parents, mais tu n’étais pas méchant. Généreux, tu aidais tes potes et réparais les bécanes comme personne. Souvent, tu dévalais les rues de San-Diego en skate, en hurlant que le monde était à toi. Mais ça c’était avant. Avant que tu changes sous les coups de bâtons censés te remettre dans le droit chemin.
5. Ta vie sentimentale est chaotique et c’est peu dire. Tu refuses qu’on s’attache à toi, qu’on te touche, qu’on puisse avoir une emprise sur toi. Tu en as peur et tu t’efforces toujours de détruire les relations qui s’y approchent. Ainsi donc, tu n’as jamais vraiment eu de petite amie et encore moins de relations physiques depuis que tu l’as fait la première fois (soit à dix-sept ans). Les filles te trouvent – de toute façon – trop étrange pour venir vers toi.
6. Fils unique, tu as grandi avec des parents un peu trop rigides et fermés. Une éducation stricte et dure, loin de l’enfant roi. Longtemps on t’a obligé à marcher droit, sans fausse note. Sauf que toi, t’as toujours détesté les règles, les dogmes, les trucs qu’on t’imposait. T’es un peu parti en vrille et tes parents n’ont été – d’abord – que les spectateurs de la vie décadente que tu menais. Joint. Alcool à outrance. Fête jusqu’à l’overdose. Et puis un jour, ils ont dit stop. Ils ont fermé les portes de ta liberté et t’ont envoyé là-bas. En enfer. T’es jamais revenu les voir depuis que tu as refait surface. Eux n’étaient jamais venus non plus. Tu les as zappé de ta vie comme on balaye un tas de feuille devant une porte. Ce sont toujours tes parents, mais maintenant que tu es majeur, tu évites de les voir. Tu les juges sans doute trop responsables de ton état d’esprit actuel.
7. Il y a sur ton visage, dans tes traits, dans tes yeux, les marques d’une tristesse indéfinie, d’une blessure à peine guérie. Latentes, constantes, elles sont là jours et nuits. Et les démons se lèvent chaque matin avec toi, pour te montrer qu’on n’oublie jamais rien. Tu es dans un état perpétuel d’asthénie, blessé et meurtri. Seul, toujours seul, tu as l’âme solitaire. Tu doutes que le bonheur t’attende quelque part. Tu doutes d'y avoir accès. Tu doutes que la souffrance de ton esprit s’en aille un jour. Ce qui fait de toi quelqu’un de fataliste, d’assez déprimant pour qu’on te fuit comme la peste.
8. S’il y a une chose que tu aimes par-dessus tout, c’est bien lire. Amoureux de Baudelaire, de Malzieu ou bien même d’Apollinaire, tu retiens avec une facilité déconcertante leurs textes, que tu récites parfois à certains morts pour le plaisir d’écouter tes propres mots. Une passion qui aurait tendance à te rendre plus doux et moins inaccessible que ce que tu veux bien montrer. Néanmoins, il faut creuser profondément pour pouvoir découvrir ne serait-ce que les prémices de ce Jimi là.
9. Un peu abrupt, un peu vulgaire, trash comme personne, tu n’es pas un enfant de cœur et encore moins quelqu’un qui réfléchit avant de parler. Tu dis tout haut ce que tu penses et pas de la façon la plus polie qui soit. Les injures sont tes armes favorites, et tu as les poings faciles. On te cherche, on te trouve. Tu ne demandes pas ton reste. Tu fonces tête baissée, tant pis si ça casse.
10. Malgré tout, tu essayes de reprendre une vie normale, en prenant bien soin de sauver les apparences. Une vie de jeune adulte, qui a pourtant perdu la route du futur. Tu sors, tu bois, tu fumes, tu bosses. Et c’est tout. Tu n’es pas franchement mauvais, tu as juste subi des choses qui t’ont marqué, qui t’ont façonné à leurs images. Si tu es persuadé de rien apporter au monde ou même à quelqu’un, tu attends juste qu’on te prouve le contraire. Qu’on te prouve que quelque part, tu as une place à toi, un chemin à prendre, un rêve à toucher.
HORS JEUPseudo binaryfile. Âge la grosse vingtaine.  Prénom laura. Où as-tu connu le forum? bazzart, bien évidemment. Ton personnage est inventé C'est qui ton pokémon préféré? franchement ? magicarpe ! il est swagg.  Une suggestion ou un commentaire à nous communiquer ? :sex: Le mot de la fin? j'suis pas arrêtée sur mon pti gars, alors si des gens ont besoin d'un mec pour compléter une bande de pote ou même une famille, le mpornage c'est la vie.   |
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| | Sujet: Re: l'incandescent. Sam 18 Jan - 22:58 | |
| Oh, avec Rox on a besoin d'un groupe d'amis (ce pseudo, ce choix d'avatar  et puis un fossoyeur, ça donne envie  ) Bienvenue ! |
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| | Sujet: Re: l'incandescent. Sam 18 Jan - 23:39 | |
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| | Sujet: Re: l'incandescent. Dim 19 Jan - 0:45 | |
| BIENVENUE PARMI NOUS JEUNE HOMME un peu glauque le métier mais ça a le mérite d'être original hahaha si tu as la moindre question n'hésite pas surtout :D |
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| | Sujet: Re: l'incandescent. Dim 19 Jan - 21:22 | |
| Cet écorché vif, il donne envie de lui faire des câlinous  il nous faudra un lien avec mon DC, Jillian, entre boulimiques littéraires ils vont s'entendre c'est sûr  bref, en tout cas, tu es validé bon jeu parmi nous et si tu as la moindre question ou quoi que ce soit, n'hésite pas :D Voila les liens les plus importants : FICHE DE LIEN - LOGEMENTS - LES RESEAUX SOCIAUX - SYSTEME DE POINTS |
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| | Sujet: Re: l'incandescent. Dim 19 Jan - 21:30 | |
| oh bah si il donne envie de lui faire des câlinous, je suis bien contente. en effet, j'pense que ca peut bien coller avec ton dc.  merci pour la validation en tout cas. |
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il en faut bien des fossoyeurs, écoute. 
