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 (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.

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MessageSujet: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyDim 19 Jan - 22:41

Jade Conley

NOM : Conley.

PRENOM(S): Jade.

SURNOM(S): Ja, si ça t'chante.

ÂGE: Dans la trentaine, c'est tout c'que vous avez besoin de savoir.

NE(E) LE: onze mars.

A: San Diego, Californie.

NATIONALITE: Américaine, à 98%, pour le reste, allez demander au papa frenchy.

TWITTER: Jt'en pose, des questions ?

MAIL: jadeconley@gmail.com


ORIENTATION SEXUELLE: En quête de sang frais, masculin exclusivement.

ETAT CIVIL: En instance de divorce.

ETUDES: Cela fait bien longtemps que j'en suis sortie, ça s'voit pas tu trouves ?

PROFESSION: Journaliste dans une grande gazette satirique. Ils aiment l'amertume de mes paroles, faut croire.

maggie hottie grace & CHILD-KING (?)
CARACTERE Il y a diverses manières de décrire cette jolie blonde atteinte du syndrome de Peter Pan. Premièrement, on ne peut qu'être choqué par son assurance à toute épreuve, cette foutue confiance en elle qui la couvre d'un drap réconfortant dès que la vie s'acharne sur elle. Égocentrisme, sadisme et masochisme, perversions et manipulations font partie de son vocabulaire courant. Le mépris de l'humanité, vous pouvez le lire dans ses yeux. Nul ne lui arrive à la cheville, et elle le sait bien, faisant payer le commun du mortel pour cette ignorance. Séductrice et joueuse, elle aime être le chat et ronger sa souris. Ambitieuse, rien ne compte davantage que l'appât du gain et son travail, ses mots sarcastiques et ses ironies mordantes à coucher sur papier glacé pour détruire la vie d'un autre mortel. Au delà de ça, elle est tout de même un être dénué d'un petit cœur sanglant qui bat, elle fait pas si peur... Non, j'déconne, fuyez pauvre fous !
J'AIME l'esprit, les traits d'humour, la beauté des mots et le grincement d'une plume sur une feuille vierge. La séduction, les jeux de regard, les papillons dès la première caresse, la peau qui ondule, se trémousse, les sifflements qui sortent d'une bouche désirée, et la fuite dès les premières lueurs du jour. Les hommes jeunes, plus jeunes, ceux qui ne sont pas encore atteints par la banalité du quotidien. Mon travail, mon compte en banque, mon troisième divorce, mon deuxième et mon premier. Tant de libérations.
J'AIME PAS Mon mari, mon ex-mari, et mon défunt ex-ex-mari. Les hommes dénués d'humour et d'intelligence. Les femmes dénuées d'humour et d'intelligence. Le commun du mortel qui n'aspire pas à sortir de la masse. Les faibles, les mous, ceux qui n'ont ni pointe d'ambition, ni envie de s'en sortir. Ces cons qui hurlent à l'injustice sociale alors qu'ils ne tentent rien pour tirer leur épingle du jeu. L'hypocrisie et la malhonnêteté. La banalité. Les sentiments. La peur.


TA PREMIERE CUITE Il y a bien longtemps, j'avais 16 ans.
TA PREMIERE CIGARETTE 15 ans.
TON PREMIER JOINT 17 ans.
TON PREMIER BAISER 11 ans, ne m'en parlez pas, j'en garde d'odieux souvenirs.
TA PREMIERE FOIS 16 ans.
L'ENDROIT LE PLUS COOL OU TU L'AS FAIT Je ne saurais dire. Peut-être n'était-ce pas l'endroit, mais la personne : à un mariage, avec le marié, dans le placard à balais. C'était comique.
AS-TU DEJA PRIS DES DROGUES "DURES" non.
TU SURFES ? Vous me voyez, sur une planche de surf ? Franchement ! Je ne quitte jamais mes talons de dix centimètres, et si je vais à la plage, c'est pour y parfaire mon bronzage. Point.


LE HEROS DE TON ENFANCE Mon père, il fut un temps.
PERSONNAGE HISTORIQUE QUE TU MEPRISES LE PLUS? Sauron.
LE FILM QUI T'A LE PLUS TOUCHE Fight Club.
TON PLUS GROS DEFAUT Pour n'en citer qu'un, la prétention.
LA QUALITE QUE TU PREFERES CHEZ UN HOMME Sa jeunesse ou son compte en banque, au choix.
LA QUALITE QUE TU PREFERES CHEZ UNE FEMME Sa jalousie.
LE PRESIDENT DE TES RÊVES Blair Waldorf, gloire aux femmes fatales qui se revendiquent ambitieuses sans en payer de prix.
TON POKEMON PREFERE Mewto.
UN MOT POUR RESUMER LE MONDE DANS LEQUEL TU VIS Misérable.
CROIS-TU EN LA POLITIQUE? Surement pas.
ET A L'ECOLOGIE? Pas davantage.
LIS-TU BEAUCOUP? Oui.
L'ARGENT POUR TOI C'EST... Tout.
ET LA REUSSITE? Idem.
SI TU AVAIS PU VIVRE A UNE AUTRE EPOQUE, CE SERAIT LAQUELLE ? Je doute qu'une époque ai été meilleure qu'une autre. Ceci étant, le triomphe de l'esprit demeure le siècle des lumières.
DREAM OF CALIFORNICATION
Je me souviens un peu de mon enfance. On vivait dans une bicoque pas bien luxueuse, une petite maison de campagne en soi, légèrement en dehors de la grande ville de San Diego. On y allait souvent, en voiture, lorsque mon père avait assez d'argent pour prendre de l'essence. C'était ça, notre grand problème, notre grand manque, notre seul raté. On était une famille unie, sinon. Ma mère restait à la maison à cause d'un problème de santé qui l'empêchait de travailler et même de se lever certains jours, elle errait dans la maison comme un fantôme vidée d'énergie, elle m'effrayait quand j'étais gosse. Mais n'empêche, qu'est-ce que je l'aimais. Souvent, les matins, je me glissais dans son lit pour lui faire des tonnes de bisous, en espérant qu'elle saurait se lever et me préparer mes pancakes pour les déguster avec moi. Que ce temps me paraît loin, désormais, alors que du haut de mes trente-quatre ans, je me replonge dans le passé. Je revois distinctement le visage fatigué de mon paternel qui rentrait enfin du boulot après y avoir passé la journée entière. Il ouvrait la porte, et, lessivé, dînait à peine pour se coucher et repartir aussi tôt le lendemain. Ce père, là, c'était mon héros. Il s'exécutait dans un boulot pourri pour nourrir sa famille. Je le voyais pas souvent, mais putain, quel respect je lui accordais !

Sauf qu'à dix ans, je l'ai plus respecté du tout. Ça s'est envolé par la fenêtre entrouverte sous la pluie, ça s'est écrasé au sol, et trente poids-lourds lui ont roulé dessus. Je l'ai haï du plus profond de mon être. Il est devenu un pourri, un salaud, il a fait ses valises et il s'est barré, claquant la porte sur mes yeux larmoyants d'enfant désœuvré, désarmé. Pas un regard en arrière. Pas un regret devant la santé fragile de ma pauvre mère, devant les émotions de sa chère enfant. Que dalle. Il s'en est allée rejoindre sa foutue maîtresse qu'il venait de mettre en cloque, et a détruit deux vies sur son passage. Je suis sure qu'aujourd'hui encore, il arrive à se regarder dans le miroir sans rougir, alors que moi je détourne les yeux de mon reflet car il me rappelle trop son visage de pourri. Je le vois dans les prunelles de ma mère quand elle me regarde, je sens la douleur qu'elle a de me voir sourire, de reconnaître en moi ce qu'elle aimait tant en son époux. Époux envolé, époux-photo calciné devenue cendres envolées. J'me perdais en pensées, parfois, les yeux dans le vague admirant l'horizon. J'essayais d'imaginer ma future sœur. Je la voyais blonde, je la voyais belle, je la voyais à mon image. Sans les merveilleux yeux de ma mère, toutefois, elle ne vaudrait rien. Je la haïssais déjà, cette môme, alors même qu'elle n'était pas venue au monde. Secrètement, j'espérais même qu'elle n'y vienne jamais.

Puis j'ai commencé à fréquenter la ville, la grande ville, cette métropole pourrie mais ensoleillée qui fulminait dès les premières lueurs du jour. Un concentré abject de pourritures aux fringues de marques apparentes, aux sourires colgate, aux ongles manucurés et aux bronzages parfaits. J'étais une adolescente, j'devais avoir dans les quatorze ans. Ma mère avait pris la sage décision de m'envoyer dans ce lycée sélect de San Diego, en raison de mes excellents résultats scolaires. Elle préférait rester seule mais malade que me priver d'un bon avenir. Notez, j'étais une gamine studieuse et naturellement dotée d'une intelligence certaine, les études ne m'effrayaient pas et ne me demandaient pas le moindre travail personnel. Elle n'avait pas les moyens, mais une bourse de mérite m'avait été attribuée, puis j'étais arrivée là, avec mon sac à dos trop remonté, petite campagnarde inconsciente perdu dans une ville trop en effervescence. Visiter San Diego était une chose. Y faire ses études en était une autre. J'avais débarqué dans la jungle à la popularité, et mes grands yeux clairs -hérités de la douce beauté maternelle- ainsi que ma blondeur incandescente m'y aidèrent naturellement. J'étais jolie, pas trop conne, cela suffisait visiblement à cette bande de moutons attardés qui me jaugeaient comme si j'étais une bizarrerie de la nature. D'un bizarrerie anormale et curieuse, vulgaire bête de foire, j'étais devenue une bizarrerie populaire qu'on se plaisait à contempler. N'empêche qu'à quatorze ans, j'en avais ressenti une indéniable fierté et je me rendais chaque matin, tout sourires, à mon fabuleux lycée pour y goûter à l'estime et à la notoriété.

Je ne dirais rien de mes années universitaires. Elles ne méritent pas d'être narrées. Je bossais simplement excellemment bien dans un univers qui savait me correspondre à la perfection, j'en vins à croire qu'il était moulé sur mon esprit détraqué qui gagnait en mépris chaque jour que Dieu faisait. Le monde m'effarait. Mon père, cet homme en qui j'avais tant placé d'espoir, n'était plus devenu qu'une vieille loque aux prises avec sa nouvelle adolescente blondasse comme je l'avais imaginée. J'allais le voir, parfois, et j'en ressortais toujours avec ce goût amer sur le bout de la langue, cette âcreté qui transparaissait par tous les pores de son ignoble peau. Ma mère était décédée des suites de ses blessures, et les soucis d'argent commençaient à poindre le bout de leur nez rouge et crasseux. J'appris à m'en sortir seule, grâce à de petits boulots d'abord, parfois à l'aide horripilante de mon père, je m'devais de l'admettre, puis souvent grâce à divers repas offerts par des conquêtes, des vêtements de marque payés par d'autres hommes. Je me découvrais un talent dans l'art de la séduction, un talent tout particulier favorisé par les grands yeux de ma mère, et la blondeur de mon père. Duo gagnant. Ils se pavanaient à mes pieds pour que je me pavane leurs bijoux autour du cou. Ils suppliaient presque pour m'offrir le monde. J'acceptais. Ç’aurait été cruel de leur refuser ce privilège.

Je me suis mariée, d'abord à vingt-et-un ans. Mon école de journalisme coûtait trop cher, ma pension m'avait été retirée pour cause de non-assiduité. Je bossais à côté, incapable de concilier les deux à chaque horaire. J'étais dans un merde innommable. Puis ce type, Aiden, il m'a demandée de l'épouser. J'aurais été bien conne de refuser, alors qu'il laissait un pourboire de plusieurs billets à chacune de nos sorties aux restaurants. Il m'avait aussi proposée de payer la fin de mes études, et je craignais -à juste titre- qu'il retire sa proposition si je refusais sa demande en mariage. Un "oui". Et je me retrouvais devant le maire, en sublime robe blanche de créateur. Un autre "oui". Une bague enserrant mon doigt, qui me grattait, me faisait mal, que je rêvais de retirer promptement. Je lui suis restée fidèle pendant la première année de notre mariage, j'avais pensé pouvoir changer de vie, pouvoir découvrir, moi aussi, ce beau mot qu'était Amour. Puis d'autres hommes sont entrés dans ma vie, d'autres esprits se sont accoudés au mien, d'autres corps ont frôlé ma peau. La découverte de mon infidélité me coûta les vivres et un divorce : je restais sans rien, seule, mais mon diplôme en poche.

Un autre mariage, un vieillard de quarante-deux ans emprisonnant ma jeunesse éternelle. Je lui restai fidèle deux jours. A peine. Il avait un compte en banque bien plus rempli que le cerveau, mais il me permettait de tenir jusqu'à ce que je trouve un travail stable qui ferait honneur à mes indéniables qualités de journaliste. Sans blague, je déchirais tout dans ce domaine, une vraie déesse. On ne tarda pas à me rendre honneur. Je devins reporter, je pus enfin vivre de ma propre fortune. Pas suffisamment, toutefois, j'avais pris la délectable habitude de ne me contenter que du meilleur. Je vécus trois ans avec ce vieillard insoutenable, trois longues années où je crus prendre quinze piges. Puis je décidai d'en finir, l'accusa de violence, gagna le procès, lui pris une bonne partie de sa fortune et les miettes de son cœur brisé. Aucun regret lorsque je claquai la porte, une valise sous chaque bras, aucun regard en arrière sur ce vieil homme que je n'avais jamais apprécié, pas même un peu. La manipulation faisait désormais partie intégrante de mes bagages. En un sens, je comprenais mieux mon père. Pourquoi se contenter d'une vie de travailleur hors pair et émérite sans le sou, alors qu'il valait si mieux être un infirme du cœur..

Davi. Un gars bien, charmant. Dégouté de la vieillesse par mon dernier mari en date, je m'étais tournée naturellement vers la candeur toute particulière des hommes plus jeunes. Davi était l'un d'eux. Cavalière émérite, je l'avais pris pour cible. Un quatre heure, voilà ce qu'il devait être. Je ne saurais pas dire pourquoi nos fanfaronnades ont perduré. Il n'avait rien de spécialement exceptionnel, si ce n'était son charisme à toute épreuve, sa merveilleuse tignasse brune dans laquelle j'adorais perdre ma main ou ma bouche, sa persévérance au rodéo, et son esprit éclairé digne du mépris le moins élevé. Non, je me dois ici d'être sincère. Je ne le méprisais pas le moins du monde. Il avait cet insigne honneur d'être le type pour qui j'ai eu le plus de respect dans toute ma vie, sans le moindre doute. C'était un gars bien, original, unique et curieux, un brun mystérieux qui ne posait pas non plus trop de questions. Je ne savais rien de lui, il ignorait tout de moi, nous nous contentions de parler d'autres sujets mais nous en avions toujours un sous la main. Et lorsque nous en manquions était venu le temps des réjouissances. C'était naturel, c'était simple. Je ne me forçais pas, dans ses bras, je ne mentais pas, ne manipulais pas. Je me montrais sous mon plus simple appareil comme je ne l'avais sans doute jamais fais auparavant, incapable de lui faire comprendre qu'il était le premier. Je ne le voulais pas, non plus. Aucune envie d'attiser des sentiments impurs chez cet homme qui ne saurait me rendre heureuse. Aucune montre de luxe à son bras, un appartement sobre bien que loin de la pauvreté, il n'avait toutefois surement pas un compte en banque assez rempli pour que j'imagine le moindre avenir avec lui. Entre le luxe et le bien-être, je n'avais pas tardé à trancher. Et j'me suis barrée, encore, toujours. J'ai claqué la porte, un belle matinée ensoleillée, sans rien dire, comme d'habitude lorsque je revenais la semaine d'après. Mais je ne suis jamais revenue, cette fois-là. Je ne lui ai rien dis, me suis contentée de bloquer son numéro, de disparaître.
Purement. Simplement. C'est ce que j'ai fais. En France.

Troisième mariage. Il était sans conteste le plus fortuné de mes époux. Homme bien sous tout rapport, chef d'entreprise milliardaire, diablement sexy, cruellement sauvage, éperdument gentleman. Notre premier mois de mariage fut une idylle. Je me serais presque crue tombant dans les chutes infinis d'un Niagara éternel. J'aurais pu, oui, me laisser berner à cette illusion d'amour. La vérité demeurait tout autre. C'était un bosseur, ce type là, j'ignore si je peux réellement le lui reprocher. Il passait pourtant le plus clair de son temps au travail, au téléphone, dans son bureau, dans une réunion importante concernant les plus hauts gradés de son entreprise planétaire. Je ne supportais pas être mise à l'écart. Comment une femme telle que moi, avec ma beauté légendaire et mon intelligence hors du commun, pouvait permettre à quiconque de me lasser sur le carreau ?! Absurdité sommaire. Je le lui ai fais comprendre, beaucoup. Les vases ont rebondi contre le mur, se sont écrasés par terre dans un grand bruit de verre brisé, souvent. Les voix ont hurlé, crié, se sont époumonés à en tousser, les disputes ont fait trembler les murs de la maison, toujours. On aurait pu s'aimer, lui et moi, je le sais, j'en suis sure. Mais une petite voix, dans ma tête, me rappelait le nom de Davi. Une foutue petite voix que j'aurais tout donné pour faire taire, mais qui restait là, résonnant entre les quatre murs de mon crâne assommé. J'ai demandé le divorce au bout d'un an et demi de mariage, je n'ai pas demandé le moindre argent, je l'ai laissé récupérer ce qui lui appartenait. En un sens, j'avais trop de respect pour lui voler une bourse sur laquelle je n'avais aucun droit. Je n'en manquais plus, alors je lui avais fais cette dernière fleur, à cet homme qui aurait pu remplir son rôle d'époux s'il n'avait été si ambitieux. Et je suis rentrée. San Diego et sa plage ensoleillée. San Diego et sa chaleur estivale. San Diego et son Davi humeur festive aux quatre coins de la ville par tous les temps et à toute heure. San Diego m'avait manquée. Et, les valises dans les mains, me revoilà sur la terre qui m'a vue devenir un monstre.  
HORS JEU
Pseudo hey jude. Âge 19 ans  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3989537671 . Prénom Cyrielle. Où as-tu connu le forum? Heum, bazzart sans doute, et comme je l'ai trouvé sacrément beau, je l'ai ajouté à mes favoris.  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 2361227765  Ton personnage est un mini scenario de Davi-chéri  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 1710122637 . C'est qui ton pokémon préféré? Salamèche  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 597757817 . Une suggestion ou un commentaire à nous communiquer ? nop', not yet. Ptétre les admins sur les fiches de présentation, pour souhaiter la bienvenue. Arrow Le mot de la fin? j'vous kife, bande de loukoums.  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 2144254842 
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyDim 19 Jan - 22:58

le titre + le prénom + Grace, magnifiques  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3914096175 bienvenue par ici  I love you 
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyDim 19 Jan - 22:58

J'ai un surnom pour toi, espèce d'abominable garce !

Je t'aime plus autant qu'avant mais je t'aime quand même. Good luck pour ta fiche (mais c'est déjà très prometteur) et puis...  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 2744561116 (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3603190576 
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyDim 19 Jan - 23:03

Jolie Barbie avec Rosie la magnifique, merci. (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 4133599979

Mais enfin, entre l’appât du gain et ta jolie gueule d'ange, j'ai du choisir mon beau, t'peux pas m'en vouloir de souhaiter renflouer les caisses.  What a Face (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 1118190960 
Allez, réconciliations.  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 2744561116 
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 18:53

bienvenue parmi nous I love you
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 19:34

    Bienvenuuue  I love you 
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 19:35

Hey Jude ? Mais mais mais je porte un de tes avatars. (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 1118190960
Bienvenue parmi nous, si tu as la moindre question, n'hésite pas. I love you
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 20:20

Merci beaucoup à vous.  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 2206698002 
Lussy, quel honneur.  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3914096175 
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 20:24

le titre + Maggie (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3068785639 (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3068785639 
bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 20:42

Merci, ton avatar déchire tout.  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3914096175 
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 21:45

J'ai fini mes poulets.  (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3011649276 
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 21:51

Pour moi c'est parfait !
Amènes ton cul sexy par là, que je te fasse passer par la fenêtre.
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J-D "Rox" Huxley
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyLun 20 Jan - 23:58

j'ai vraiment aimé malgré la longueur (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3068785639 ta plume est formidable et puis l'histoire en jette ça c'est clair (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 4153723984 je te valide donc I love you je t'invite à aller jeter un coup d'œil aux liens suivants :D
FICHE DE LIEN - LOGEMENTS - LES RESEAUX SOCIAUX - SYSTEME DE POINTS
BON JEU PARMIS NOUUUUUUS (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 122567350
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MessageSujet: Re: (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard.   (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. EmptyMar 21 Jan - 15:58

Merci infiniment. (JA.) qui sauve la vie qui trompe la mort qui déglingue enfin le blizzard. 3011649276
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