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| Sujet: mens moi. Dim 16 Fév - 10:20 | |
| AZMARIA NOVAH GRIMES NOM : jeune demoiselle à la fourrure de prude, se pavane dans les rues délabrées, cachant sa marque de fabrique : Grimes. PRENOM(S): en son corps s'incrustaient des tatouages de naissance, glissant sur son être mi-dénudé sous les mains salaces de tellement d'hommes. Pour celui-ci, elle était Azmaria, pour l'autre Novah, mais pour tous restait-elle la victime à dévorer. SURNOM(S): des "sugar baby" ou "baby doll" découlaient de ses lèvres enchantés, maitresses de tant de paroles délaissées. ÂGE: dix-sept ans qu'elle traine des pieds, suivant les lignes blanches de ces routes infinies. NE(E) LE: 11/06/1996 A: san diego, AMERIQUE NATIONALITE: américaine, mais le soleil du Mexique a déjà baisé sa peau, lui aussi. TWITTER: babynovah MAIL: novah.doll@gmail.com | ORIENTATION SEXUELLE: les courbes lascives ne hantent pas ses rêves, même si elles la fascine et semblent être la pomme, le fruit interdit. Baby, elle aime plus les hommes, les vrais, surement plus vieux qu'elle... ETAT CIVIL: elle n'appartient à personne et à tout le monde à la fois. La femme de tant de nuits, d’innombrables étoiles, elle vient s'allonger sur le torse d'un, avant de ne prier dans les bras d'un autre. ETUDES: lycéenne accessoirement. sinon, elle aime bien surfer sur différents sites coquins et y écrire ses petites histoires dont les hommes et les femmes se délectent. PROFESSION: elle est une sorte d'écrivain érotique sur la toile, connue sous le nom de "Baby Doll" | Taylor Marie Hill & not so lucky | CARACTERE charismatique, charmante, nostalgique, alcoolique (c'est dans les gènes de la famille), coquète, intrépide, courageuse, mélancolique, séductrice, inconsciente, libertine, volage, sensible sous ses airs de femme fatale, susceptible, je-m'en-foutiste, provocatrice, jalouse, possessive, rapidement lassée, hypocrite, souriante, menteuse, rusée, protectrice, trop souvent soumise, introvertie, passionnée, bohème, naïve, bornée, gamine. J'AIME les histoires pas très catholiques qui ruissellent sur le net, la musique forte, les vieilles bagnoles, l'alcool, la danse, les sous-vêtements, les bars, les hommes plus âgés, les motos, les longs trajets, les converses, les bancs, la littérature, l'argent, l'amour charnel, les séries "charmed" et "buffy contre les vampires", le vieux rock, les guitares, l'odeur de l'encens, les boutiques bohèmes, la culture amérindienne, les loups, les voyages, la simplicité, danser sur les comptoirs, les photos, les musées, l'odeur des livres, trainer dehors, l'école buissonnière, les bijoux, la pluie et les cheveux mouillés, la passion, les feux de camps, les marshmallows, la mer, les baisers, les lits, les cigarettes pendant à la bouche d'un homme, les nouvelles sensations, les pornos (elle doit bien l'avouer). J'AIME PAS les geeks, les femmes adultes, les gens coincés, l'interdit, la provocation envers elle, bien sûr, les parents, les filles canons, l'indifférence, les pyjamas, le sci-fi, cuisiner, le ménage, grandir.
TA PREMIERE CUITE la mémoire effacée, des souvenirs éphémères, elle retient tout de même, dans une cage d'or et d'argent, dans un coin de sa tête, première victoire face à ses parents apeurés de cette démone, les échos de cette musique de fond, bourdonnant dans tes oreilles, résonnant comme des murmures salaces, c'était peut-être lors d'une soirée, ou dans la cave de ta voisine...mais en tout cas, elle avait déjà quinze ans la morveuse. TA PREMIERE CIGARETTE à quatorze ans, lorsqu'elle l'a cueillie, comme un délicat baiser, des lèvres de son prof de littérature étrangère. Tu t'es sentie comme la Lolita, lumière de sa vie, feu de ses reins. TON PREMIER JOINT surement dans les toilettes de ton lycée, en compagnie, de cette fille là, la p'tite rousse innocente. Cet ange qui partie trois mois plus tard, les veines déchiquetées par de cruelles lames. TON PREMIER BAISER celui du prêtre...première déception de sa mère, énième gifle de son père. TA PREMIERE FOIS toujours avec cet homme qui marqua à jamais la vie de la délectable nymphe, ce prêtre d'Eglise qui succomba à la triste Jezabel, dans sa vieille bagnole. L'ENDROIT LE PLUS COOL OU TU L'AS FAIT surement sur l'autel...le vin ruisselant sur sa poitrine de gamine. AS-TU DEJA PRIS DES DROGUES "DURES" pas vraiment, elle a voulue tenter, mais le sacrifice ensanglanté de la rousse angélique hante les flocons de cette neige empoisonnée. TU SURFES ? non.
LE HEROS DE TON ENFANCE sailor moon, elle pouvait passer des heures à regarder ce dessin-animé ! PERSONNAGE HISTORIQUE QUE TU MEPRISES LE PLUS? jésus. LE FILM QUI T'A LE PLUS TOUCHE the virgin suicides... TON PLUS GROS DEFAUT son agacement constant, elle se lasse tellement vite de tout ! LA QUALITE QUE TU PREFERES CHEZ UN HOMME sa liberté...ou son argent, cela dépend du type. LA QUALITE QUE TU PREFERES CHEZ UNE FEMME son silence. LE PRESIDENT DE TES RÊVES lisa simpson. TON POKEMON PREFERE Eevee. UN MOT POUR RESUMER LE MONDE DANS LEQUEL TU VIS bordélique. CROIS-TU EN LA POLITIQUE? faut-il ? ET A L'ECOLOGIE? peut-être. LIS-TU BEAUCOUP? elle adore ça, lire et surtout écrire. L'ARGENT POUR TOI C'EST... malheureusement important. ET LA REUSSITE? une utopie. SI TU AVAIS PU VIVRE A UNE AUTRE EPOQUE, CE SERAIT LAQUELLE ? toutes les époques à la fois, être cette femme qui attend son prince charmant, celle-là qui pose pour un grand peintre, ou elle qui se pavane dans la cour d'un roi de Versailles. Peut-être même, la duchesse amoureuse d'un certain Mr Darcy, la blonde platine dansant sur du swing, et l'insouciante infirmière des valeureux guerriers. Mais elle n'est que la lycéenne d'un monde brutalement hypocrite. |
DREAM OF CALIFORNICATION Ça commence avec de la nuée sortant de sa bouche venimeuse, juste un soupire pour expirer les papillons de nuits qui s'incrustent en ses poumons, ces arbres aux branches mourantes. Puis ça finit en un gros bordel dans son esprit chamboulé, son regard livide de sens, emplie d'extase artificiel, observant la mousseline grisâtre grimper vers le plafond de sa cage horripilante. Juste assez de sensations pour brandir un trophée devant la gueule des parents abandonnés. Juste assez de conneries pour se dire qu'on la vit vraiment cette vie, qu'on n'est pas que des grandes-gueules, s'écriant à qui veut l'entendre qu'on va le faire, qu'on va prendre ce rivage et tomber dans le ravin, prit par de violentes secousses face aux flammes toujours plus brutales. Mais il y a toujours cette raison empoisonnée qui délivre sa rivière de venin, brûlant la justice, crachant sur la bonne face de ces adultes emprisonnés de leurs désirs. Avaient-ils au moins expérimenté toute ces envies, elles, si coquines dansant sur leur peau battue, par les plus grands de ce monde, mordant les nerfs rien que pour s'embraser, rien que pour eux. On était vraiment délivré que lorsque nos propres limites s'étaient élancés en avant, pour courir toujours plus loin. Des limites ? Après tout, l'humain ne s'imposait que ses propres fureurs. Il s'autorisait à étrangler sous certaines conditions, l'existence volée étant parfois primordiale. Non, ils n'étaient que des bêtes, valsant avec le temps, jouant devant leur miroir, récoltant à chaque fois des souvenirs, qui au fond, ne sont que des chaines. On ne vit que d'après nos mémoires. On peut tuer si le passé l'oblige, on peut craquer s'il nous plante un couteau, et on peut vivre si on décide de l'effacer. Qu'importe qui on était ? Qu'importe quel ange bienveillant avons-nous perdu dans la bataille ? Le tout. Le tout c'était d'oublier. Un remède efficace dont on ne faisait même pas la pub, tant il était apeurant. Imaginez un monde où vos gestes n'auraient plus de conséquences ? Imaginez si tous...tous, nous étions délivrés. Le roi aurait rencontré la guillotine plus tôt ! Puis il y avait toujours ce sourire qui embrassait ses lèvres carmins. Cette béatitude ridicule et stupide déformant son visage de sirène...masquant ses pensées nocives avec un tel talent qu'on souhaitait la baiser cette petite morveuse ! Observez la se hisser sur ses talons, se mouvant près de cet homme, se déhanchant devant l'autre, observez le monstre, ce bourgeon de noirceur et d'or, qui peinait à s'ouvrir et lâcher ses pétales aphrodisiaques. Oui, Vénus pouvait être jalouse, ou Vénus était-elle ! Née de l'écume miséricordieuse, entourée de murmures lassants, fille d'un dévoué de Dieu et d'une mère alcoolique. Cela ne pouvait-être que cela, sinon pourquoi cette Lilith fantastique enfumerait tout sur son passage ? Jouant avec les pensées de ses victimes, les roulant dans ce papier misérable, et le portant à sa bouche, noyée sous les jougs des baisers. Mangeuse de cœurs, parfois même de queues, se retrouvait-elle dans le reflet de leurs iris embrumées. Tellement d’existences avaient ornées sa tête, ces joyaux étincelants qu'elle rependait dans les gouffres amères de ses mensonges évanouis. Elle n'avait que dix-sept ans, la mignonne, juste dix-sept ans, et au fond, elle était déjà plus vieille que la Terre elle-même. HORS JEU Pseudo trop Âge trop aussi . Prénom appelez-moi Novah. Où as-tu connu le forum? bazzart. Ton personnage est un mini-scénario, celui de Nikki. C'est qui ton pokémon préféré? MOUAH Une suggestion ou un commentaire à nous communiquer ? . Le mot de la fin? :sex: :lulu: . |
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