Qui n'aime pas faire une bonne petite séance de sport ? A la vue du message de Mathys, ce ce qui dit. Donc je répondis oui à la proposition. J'aime faire de sport, ça me vide la tête, me défoule, et me maintiens en très grande forme. D'habitude je la fait le matin, ça me permet de me sentir mieux pour les clients de l’après-midi. C'est un petit stimulant. Mais en cette belle fin d'après-midi je n'ai pas grand chose à faire le dernier client est partis il y a vingt minutes, le bar aura du monde dans une heure trente et Dianna revient dans une heure, alors pourquoi pas une bonne suée, de surcroît avec Mathys, qui est vraiment un gars super. Je me dépêche de vite mettre mes affaires de sports dans le sec, et hop en route. Arrivé je vois directement Mathys, s'changeant les banalités d'usage, je file me changer en sortant je suis fin prêt.

Une fois celui-ci arrivé il parla un peu avec lui avant de le laisser se changer, pour sortit s'entrainer par la suite, il s'était étiré un peu et il le laissa faire de même afin qu'il ne se blesse pas. Son côté médecin faut dire... déformation professionnelle. Il sortit ensuite des vestiaires avec celui-ci et il pris la direction des sentiers avec celui-ci afin d'aller courir pour s'échauffer un peu avant de faire un peu de musculation. Il se mis à courir doucement avec celui-ci, un rythme léger pour qu'il se réchauffe, afin de ne pas "choqué" les muscles et arrive à courir un bon moment. En courant il avait envie de parler et c'est sûrement une des raisons pourquoi il avait demandé à son ami s'il pouvait venir s'entrainer avec lui. Il y avait des avantages à s'entrainer avec quelques : pouvoir parler, se sentir en sécurité si on était mal pris il était là pour nous aider et nous encourager à nous pousser à notre maximum. « Quoi de neuf ? » Il avait envie d'en savoir plus sur ce qui pouvait se passer dans la vie de celui-ci.

Tout  les deux près, nous commencions notre petit programme, par une mise en chauffe douce et régulière, donc un footing. Exercice sympa à pratiqué à deux, surtout avec Mathys. Il était intelligent -et nous pouvions parler donc de tout-, mais était aussi et surtout très intuitif, et devinait quand il ne fallait pas me parler, ou au contraire quand j'en avais envie. Quand j'appris qu'il était médecin, ce ne fut que la confirmation de ma pensée, c'était une simple évidence -La Palisse aurez ou l'énoncé-. Alors que nous avions trouvé notre allure de croisière, je ne pouvez m'enlevé de la tête, que j'étais un salaud. Mathys était la personne la plus gentille du monde, qui as pleinement confiance en moi, et de mon côté je lui ment sur la chose la plus, étonnante de ma vie. Jamais je n'ai voulu révélé cela à qui que ce soit. Par honte pas tellement, je n'étais pas de ce genre la. Par peur qu'ils ne comprennent pas surtout. Et puis c'était notre petit secret à Dianna et moi...Mais Mathys était presque devenu le numéro, nous étions presque un trio, et je me sentait mal de lui caché ça. Si bien, que je j'avais à peine entendu sa question,  « Euh, bah, pas grand chose et toi ? ».

Il était loin de se douter de ce qu'il pouvait lui cacher, ça lui ferait peut-être un choc, il ne comprendrait sûrement pas pourquoi il fait une chose pareille, pourquoi ne pas faire un métier plus honnête, qu'on peut dire sans crainte, pourquoi ne pas faire des études? Il avait vécu des moments difficile lui aussi, mais il voudrait sûrement comprendre. Il ne le laisserait sûrement jamais tombé pour ça, après tout il décidait bien de ce qu'il voulait faire de sa vie. Seulement, il voudrait sûrement l'aider, voir s'il pouvait pas lui trouver un autre métier qui ne l'obligeait pas à vendre son corps. Car c'est un peu ça être un prostitué c'est vendre son corps, bref, il continuait de courir avec celui-ci à une rythme régulier, décidant donc de faire un peu la conversation. Il eu un petit sourire alors que celui-ci semblait perdu dans ses pensées comme il lui répondit après un petit moment, il se demandait ce qui pouvait le préoccuper comme ça. « Rien non plus... » Il continua de courir, mais il se demandait vraiment ce qui pouvait le préoccuper. « Ça va toi, tu es sûr? T'as l'air préoccupé... »