DREAM OF CALIFORNICATION, 10 facts about Freja Luz001. Mama said you're a pretty girl, what's in your head... it doesn't matter. Brush your hair, fix your teeth, what you wear is all that matters. Avoir un ex-mannequin en guise de mère, c'est toute une histoire. Il faut se faire à sa manie de ressasser ses jeunes années, de soupirer après la gloire passée, son âge d'or oublié ; dédaigner les bourrelets imaginaires installés sur ses hanches... Les jumelles ont été bercées par ses plaintes concernant la reconnaissance qu'elles lui doivent : après tout, elle les a
gardées, ce qui a signé la fin de sa merveilleuse carrière. Mais avoir une ex-mannequin en guise de mère, c'est aussi grandir en voyant le monde à travers l’œil acéré de la fashionista.. et cet aspect-là est nettement plus palpitant. Ce n'est pas sans raison que le luxe occupe une place primordiale dans la vie de Luz, que sa bible comporte plus de conseils dressing que de références concernant l'origine de l'homme et son avenir. On ne se demande pas non plus d'où lui vient son obsession pour son tour de taille et son poids. Elle ne sera jamais assez mince, ni à ses yeux ni à ceux de sa mère.
002. Les jumelles étaient des bébés célèbres, quoi de moins étonnant ? Sa carrière étant au point mort, leur mère a tenté de les lancer à leur tour. Publicités pour les lessives "tout sauf agressives pour la peau", odorantes et dont dépend bien évidemment le bonheur des enfants comme de leurs parents ; petits pots absolument "délicieux", laits "plus adaptés que n'importe quel autre à la croissance"... bien des produits y sont passés. Si cet aspect de leur début de carrière semblait parfait, les concours de mini-miss, les castings, les régimes drastiques, la pression due aux exigences et à l'ambiance de compétitivité permanente ont vite changé la donne. C'était fantastique, mais affreusement épuisant, et les privations trop nombreuses ont vite transformé le tout en cauchemar. Y mettre un terme a été un véritable soulagement, bien que leur génitrice n'ait toujours pas abandonné tout espoir de les voir percer un jour...
003. Blonde comme les blés, grands yeux bleus, rire cristallin qui s'égrène à la moindre pseudo-plaisanterie, Luz semble immédiatement... eh bien, cruche. Une jolie poupée aux capacités de réflexion
probablement limitées, mais qu'on aime avoir avec soi pour sa bonne humeur rafraichissante et ses bras confortables. Si on lui demande ce qu'elle fait dans la vie et qu'on s'installe pour l'écouter parler avec passion des débuts de sa carrière de journaliste, c'est moins par réel intérêt qu'avec des idées derrière la tête. Et pour admirer ses jambes interminables ou la voir se pencher par dessus la table, plongée dans ses explications. Les sourires indulgents qu'elle accorde sur le coup épaississent l'aura de naïveté stupide qu'on lui prête... et prédisent ce qui ne tarde jamais à suivre : du café brûlant malencontreusement vidé entre les jambes pour calmer les ardeurs de son interlocuteur, par exemple. Puis les "maladresses" se multiplient, le rayon de soleil devient le pire des porte-malheur, et au terme d'un rencard catastrophique elle disparaît sans accorder une once des récompenses espérées. C'est simple, Luz n'aime pas être sous-estimée ou cataloguée de bécasse. Cela dit, elle est bien capable d'en profiter pour laisser se confier à elle les hommes d'affaire corrompus, histoire de savoir où chercher les preuves à rassembler contre eux.
004. Non, elle n'a pas décroché son stage grâce à des promotions canapé, et ce n'est pas non plus la recette qui a poussé son ancien patron à garder le contact en jouant le rôle de mentor. S'il la pistonne et persiste à l'aider, c'est parce qu'il a confiance en son talent : derrière ses abords superficiels Luz est observatrice, perspicace et incroyablement entêtée. Et puis cette fille est une sorte de détecteur de mensonge ambulant ; elle remarque et interprète les micro-expressions faciales qui se manifestent lorsque les enjeux sont importants, que les personnes ont quelque chose à gagner ou à perdre. La difficulté ? Arriver à ne pas en faire une manie au point de "lire" la moindre mimique de ses proches... ce serait probablement une manière imparable de flinguer sa vie sociale.
005. Luz est toujours présente là où un fait vaut la peine d'être retranscrit. C'est son objectif, les articles des pigistes se vendent trop difficilement pour qu'elle se permette de manquer une information potentiellement importante. Elle aime suivre le fil d'une intuition, d'une piste ; être derrière l'appareil photo, voir des détails que personne d'autre ne remarque. Son esprit imprime la scène avant même qu'elle ne la fixe sur la pellicule et en général, s'il faut se souvenir de quelque chose, elle fait d'abord travailler sa mémoire avant de confirmer l'impression en observant le cliché. Elle aime révéler les vérités lorsque d'autres tueraient pour les garder cachées. En fait elle a encore une vision un peu idéaliste de son métier, elle est jeune après tout. Il lui reste du temps pour se rendre compte que profit et corruption sont les maîtres mots dans tous les domaines. Elle voit parfois des horreurs, n'y est absolument pas insensible, mais est trop optimiste de nature pour perdre foi en la nature humaine et cauchemarder toutes les nuits. Ce qu'elle n'aime pas, par contre, c'est la manie qu'ont les enquêteurs de penser que leur travail est leur seul qui importe. L'un d'entre eux l'insupporte tout particulièrement d'ailleurs, un certain Kaísar qui ne jure que par ses scènes de crime et l'interdiction pour les civils de les approcher. Il peut toujours rêver, rien n'éloignera Luz de ce qu'elle considère comme ses
scènes de scoop.
006. Da Silva rime avec Elite. Non ? Mais si, réessayez, vous verrez bien ! Puisqu'on en est aux confidences, c'est précisément ce qui a poussé la mère des jumelles dans les bras de celui que Luz et Stace appellent 'beau-papa n°13'. Mais le porte-monnaie ambulant s'est avéré être usé jusqu'à la corde, béant, et derrière la façade en or plaqué cette famille est une ruine.
Ruinés, c'est le mot, oui. Mais ils donnent le change, prétendent que les affaires tournent à merveille. Leur villa est d'ailleurs en travaux -
traduisez: saisie par des créanciers. Raison pour laquelle elles sont devenues SDF (
Sur Domicile Flottant. Vous vous attendiez à quoi d'autre ?). Un bateau, un compte en Californie et d'autres à l'étranger, c'est tout ce qui n'a pas (encore) été englouti pour rembourser les dettes. Et pour cause, ils sont déclarés comme les biens de Stace, de Luz, de leur mère, d'une femme de ménage dévouée... tout sauf le nom de leur véritable propriétaire, ce magouilleur qui les a plongées dans le pétrin. Bien sûr que Luz est révoltée, c'est sa vie entière qui est bouleversée! A quand le moment où elles deviendront à leur tour des cibles sous prétexte que leur beau-père est incapable de payer ce qu'il doit ? D'ailleurs, les ressources qu'il est parvenu à récolter jusque-là sont à employer avec parcimonie et les frais impliqués par le bateau menacent déjà de vider leurs dernières économies. Elle prétend a-do-rer l'originalité de la vie sur un bateau mais, seriously ? Luz déteste.
007. Elle a ses méthodes pour cacher sa situation au quotidien. Fréquenter des riches et se faire couvrir de cadeaux, maintenir le standing de ses achats et les rapporter/échanger après une utilisation, revendre discrètement des bijoux pour les remplacer par des nouveaux, s'offrir un restaurant et s'arrêter après avoir mangé un quart du plat en disant avoir trouvé un cheveux dans son assiette, erreur impardonnable s'il en est. Et bien sûr, la solution ultime : travailler en prétendant le faire "pour l'expérience" et "pour connaître les réalités de la vie". Mais le journalisme est la seule véritable vocation de Luz et la seule choses dont elle ne se lasse pas ; lorsqu'elle entame un job en parallèle, tout est parfait au début... mais se conclut assez rapidement par un renvoi.
008. Elle veut retrouver sa tranquillité d'esprit et ne plus avoir à regarder par-dessus son épaule de peur d'être
suivie. C'est une des choses qui la poussent à épier fréquemment son téléphone... Elle gère un compte Adopteunmec et Stace un autre sur Meetics, tous deux créés pour leur mère. Il est grand temps que le beau-père devienne un souvenir de plus, non ? Elles mettent toutes les chances de leur côté en cherchant l'homme idéal (un peu (beaucoup) sans succès jusque-là) et comptent organiser ensuite une rencontre "fortuite" entre leur mère et lui.
009. Petite, elle adorait les animaux et essayait constamment d'en faire entrer clandestinement dans la demeure familiale. Sa mère a failli faire une syncope le jour où Luz a récupéré tous ses manteaux en fourrure pour en faire un immense feu de joie, en scandant ce qu'elle venait d'apprendre dans un reportage sur la torture que subissait les animaux, dont la peau était arraché à vif avant qu'ils ne soient abandonnés en vrac, à l'agonie. C'est un business ignoble et qu'importe le goût de blondie pour le luxe, elle refuse d'y prendre part. Ce n'est pas une militante dont le but ultime est la défense des couscous tachetés ou la protection de l'environnement, cela dit... elle serait bien du genre à accepter de faire une incursion secrète dans les entrailles d'une société soupçonnée de maltraitance ou d'usage de produits nocifs, pour y récupérer des clichés compromettants. Ou pour y mettre le souk, puisque de toute façon, les preuves seraient impossibles à publier dans ces circonstances.
010. Marquée par
Dangerous Minds, Luz a l'espoir d'aider quelques jeunes abandonnés par la société et a rejoint une association qui œuvre dans ce but. Elle fait partie des bénévoles qui interviennent auprès de ceux qui sont catalogués comme étant sans espoir ou n'ayant aucun avenir. Les mettre en garde contre la violence, les répercussions des drogues et de l'abus d'alcool semble un peu vain, elle ne se fait pas d'illusion. Elle part plutôt du fait qu'une consommation limitée, qui n'entraîne pas de dépendance, est une marge acceptable... et plutôt que de les condamner, elle voudrait les pousser à se fixer des objectifs, à garder espoir, à parler aussi plutôt qu'à garder pour eux tout ce qui leur pèse. C'est probablement parce que les volontaires ne se bousculent pas au portillon qu'elle peut s'essayer à ce rôle malgré son jeune âge et son milieu radicalement différent. En dehors de ses brefs passages dans des hôpitaux ou des écoles de quartier, elle seconde deux fois par mois la psychologue de l'un des établissements sélectionnés par l'association. On lui a accordé avec réticence de participer au programme de parrainage, si bien qu'elle a depuis quelques semaines un "cas difficile" avec lequel tenter de nouer un contact plus tangible dans l'espoir de l'empêcher de prendre une mauvaise voix. Calvaire ? Nooon du tout, elle est complètement emballée ! Dans le monde tout beau et tout rose qui n'existe que dans sa tête, elle arrivera à gagner la confiance du concerné et ils formeront une super équipe, for sure.
HORS JEUPseudo radioactive.
Âge 21 ans.
Prénom Jaël.
Où as-tu connu le forum? sistah Stassie m'a montré la voie
Ton personnage est un personnage inventé.
C'est qui ton pokémon préféré? Quuuuulbutoké.
Une suggestion ou un commentaire à nous communiquer ? vous déchirez tout, ce forum est juste trop canon ! j'espère m'y plaire
Le mot de la fin? tbc.