| | Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » | |
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| Sujet: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 21:58 | |
| Eliott Pavel Harisson NOM : Harisson PRENOM(S): Eliott Pavel SURNOM(S): >Chaplin. Parce qu'elle regarde, au moins une fois par mois, l'un des films du clown triste. ÂGE: Elle fêtera ses 20 ans dans une dizaine de jours. NE(E) LE: 17/02/1994 A: Manhattan, USA NATIONALITE: Américaine TWITTER: Chaplin MAIL: Chaplin_Harisson@gmail.com
| ORIENTATION SEXUELLE: Pour l'instant, asexuée. En réalité, hétérosexuelle ETAT CIVIL: célibataire ETUDES: vétérinaire PROFESSION: Bosse comme serveuse dans un fast food | JUNO TEMPLE & STORY-TELLER | CARACTERE + Optimiste + Idéaliste + Fabulatrice + Attentionnée + Dévouée + Nonchalante + Persuadée qu’elle va pouvoir sauver le monde + Très imaginative + Végétarienne + Militante + Prévisible + Versatile + De mauvaise foi + Simple + Passionnée + ... J'AIME Elle aime entendre son chat ronronner, la nuit, le miel dans le lait chaud parce que ça colle à la cuillère, éternuer toujours trois fois, les murmures, les mélodies légères, le thé brûlant et à la menthe, sentir la pluie sur son visage, l’orage quand elle est dans son lit, s’étonner de tout, tout le temps, vivre des situations passionnées, croire que tout est possible, soigner ses amitiés avec délicatesse, décrocher le téléphone avant qu'il ne sonne trois fois, les croque-monsieur, l'Italie, traverser une rue en ne marchant que sur les bandes blanches du passage piéton, les langues étrangères, surtout le français, Charlie Chaplin, les animaux, prendre faits et cause pour une bonne cause justement. J'AIME PAS Elle n’ aime pas avoir les mains collantes et de devoir fouiller dans son sac, sortir de chez le coiffeur trop laquée, les lundis matins, les bruits de pas en rue ou dans un parking désert, le bruit d’un moustique toute la nuit autour de son oreille, qu’on tue les araignées puisqu’elle tue les moustiques, qu'on tue un moustique, avoir les mains moites, avoir les mains glacées, avoir une poussière dans l’œil, se sentir cent ans d'âge, se rappeler que les autres lui sont indispensables, oublier d’y croire, qu’on prenne des décisions à sa place, qu’on l’oblige à prendre conscience de la valeur de l’argent, ne plus retrouver l'air d'une chanson, avoir des fourmis dans les jambes, qu'on entame une conversation par des considérations météorologiques.
TA PREMIERE CUITE Il y a six mois ! Je n'en suis pas vraiment fière, je vous passe donc les détails. TA PREMIERE CIGARETTE A 14 ans, j'ai compris que la cigarette était un facteur convivial et social qui me permettrait sans doute de me sentir moins rejetée par mes congénères. Aussi, ai-je fumé ma première cigarette, histoire de me donner l'impression d'être une fille "cool". Ce n'était qu'une impression. Je n'ai jamais été populaire, malgré mes efforts. TON PREMIER JOINT Une fois encore, je mens. Je prétends fumer régulièrement. Je n'ai jamais touché à la drogue. Aucune. Je trouve donc des excuses si un joint de marijuana tournait dans la pièce où je me trouve....a moins que je n'essaie finalement. un jour. Tout dépendra de qui me le propose. TON PREMIER BAISER 17 ans. J'ai appris plus tard qu'il s'agissait d'un pari entre potes. Cette révélation m'a donc gâché le plaisir. Certes, depuis, j'ai eu quelques petits copains. Rien de sérieux cependant. Juste assez pour que je revois mon jugement sur le plaisir d'un baiser mouillé à partager. TA PREMIERE FOIS Je raconte à tout va que je me suis consumée d'amour avec Hidalgo lors d'un voyage en Espagne. Une plage, un feu de camp, une guitare, un transat, emballé, pesé. Sauf que je n'ai jamais vu l'Espagne... je n'ai rencontré aucun Hidalgo et je n'ai rien consommé du tout... L'ENDROIT LE PLUS COOL OU TU L'AS FAIT Dans mes rêves... ce n'est pas interdit. Si ? AS-TU DEJA PRIS DES DROGUES "DURES" Jamais. J'aurais trop peur des conséquences. Qu'arriverait-il si je devenais accroc ? TU SURFES ? Très peu. Ou pas très bien....
LE HEROS DE TON ENFANCE Spiderman. Pas très populaire, intelligent... mais exceptionnel. J'aurais voulu l'être moi aussi, exceptionnelle. PERSONNAGE HISTORIQUE QUE TU MEPRISES LE PLUS? Ben Laden et ses confrères. LE FILM QUI T'A LE PLUS TOUCHE La ligne verte. J'ai pleuré comme un bébé. La peine de mort, ça me rend malade. TON PLUS GROS DEFAUT Le mensonge... ou ce manque maladif de confiance en moi. LA QUALITE QUE TU PREFERES CHEZ UN HOMME L'authenticité LA QUALITE QUE TU PREFERES CHEZ UNE FEMME L'authenticité LE PRESIDENT DE TES RÊVES Ezio Auditore TON POKEMON PREFERE Rondoudou UN MOT POUR RESUMER LE MONDE DANS LEQUEL TU VIS Gaspillage CROIS-TU EN LA POLITIQUE? Je crois surtout en la mienne. ET A L'ECOLOGIE? Oh oui ! Je milite souvent pour que les hommes prennent conscience qu'il faut prendre soin de ce que la nature nous offre. LIS-TU BEAUCOUP? Oui. Enormément. Mes livres me font vivre d'autres vies, d'autres histoires,... L'ARGENT POUR TOI C'EST... Une vieille pxte qui n'épouse pas les pauvres. ET LA REUSSITE? Un miroir aux alouettes SI TU AVAIS PU VIVRE A UNE AUTRE EPOQUE, CE SERAIT LAQUELLE ? Sans aucun doute, les année 70... |
DREAM OF CALIFORNICATION« Oh la menteuse, elle est amoureuse de Nicholas. Oh la menteuse, elle est amoureuse de Nicholas. » scandent inlassablement mes camarades de classe. Ils sont cruels, mesquins et, à chaque récréation, je subis leurs railleries incessantes et dégradantes. Ils me trouvaient trop sage, trop studieuse et trop laide également. Certes, à leur décharge, je n’avais rien de la gamine populaire qui, un jour prochain, deviendra la capitaine de l’équipe de Cheerleaders de son lycée. Je n’en ai ni le profil ni le physique. Mon appareil dentaire me vaut un surnom aussi flatteur que « prise électrique », mon surpoids et ma petitesse les obligent à me comparer à un hobbit et mes allures de petites filles modèles attisent systématiquement leur jalousie. Non ! Je n’ai vraiment rien de la fille soulevant le poids de l’affection chez tout un chacun. Au contraire, il ne m’associerait pas à Nicholas. Nicholas, vieux avant l’heure, qui pue la naphtaline et sent un peu le rance. Nicholas, boutonneux à la peau grasse qui me dégoute autant qu’ils me détestent tous. « Et si vous me laissiez tranquille, pour changer ? » tentais-je mollement, convaincue que mes tentatives pour obtenir un armistice étaient vaines. Conversations stériles. Ces mégères sont trop bêtes pour m’entendre. Alors, j’ai haussé légèrement le ton. Je me suis énervée, comme jamais je ne l’avais fait. Je croyais pouvoir les impressionner un tant soit peu, comme certaines héroïnes à la télévision. Quelle idiote. J’avais oublié que je n’étais qu’un cliché ambulant, une fille commune, ordinaire, peut-être même banale. Aussi, se sont-elles vengées de mon impudence en jetant mes livres et mes cours dans les w.c.. Bien sûr, je les ai détestées et, le soir venu, j’ai pleuré de n’être personne. J’ai pleuré souvent. J’ai sangloté jusqu’à ce jour où j’ai décidé que le mensonge deviendrait mon allié. Je me suis inventé une vie. Une vie de duplicité qui, loin du confort de ma maison, me rend plus forte et plus attrayante. Une vie qu’il m’est impossible de mener réellement. Ne l’ai-je dit plus tôt ? Je suis trop sage. *** Il devait être dix heures du matin lorsque j’ai téléphoné à ma mère de l’infirmerie de l’école. Je n’étais pas bien. Je me sentais nauséeuse. Et chaque minute me paraissait une heure tant j’étais affaiblie par la fièvre. Après tout, je n’ai jamais été réputée pour ma patience et, étrangement, mon entrée dans cette période difficile qu’est l’adolescence me rendait plus pressante que jamais. « Où es-tu ? » « Que fais-tu ? » « Viens vite ! » « Je ne suis pas bien. » « Je veux rentrer à la maison. » sont tant d’exemples de texto que je lui adressai en moins de cinq minutes sans qu’elle ne prenne la peine de répondre. Elle était déjà dans la rotonde du bâtiment quand elle reçut le dernier. « Tu m’oppresses Chaplin. Vraiment. Tu me fatigues au plus haut point. Je t’ai dit que j’arrivais… inutile de me harceler. Ni toi ni moi ne sommes seules au monde figure-toi. Il y a du monde sur la route. » s’exaspéra-t-elle tandis que, en ramassant mon sac de cours, je lui présentai de sincères excuses qu’elle releva à peine. Ainsi, nous sommes-nous murées dans un silence presque trop solennel. Ce n’est qu’arriver à la voiture qu’elle prit le temps de s’intéresser à pleinement à moi. Inquiète, elle m’interroge sur mes symptômes, prend ma température d’un geste assuré de la main et décide finalement de m’emmener voir un médecin. J’ai, habituellement, une santé de fer. Ma fièvre cache forcément quelque chose de plus grave qu’un rhume. « Ça va la musique ? Ça ne te donne pas mal la tête ? » me demande-t-elle aussi attentive que possible. J’aimais ma mère. Souvent, son côté soupe au lait cachait les meilleures intentions du monde pour ses enfants : « Non. Ne t’inquiète pas. » Une heure s’écoula sans que je n’ai vu aucun docteur. Dehors, le monde est en ébullition et fièvre et migraine sont devenues bien peu de choses face au drame dont est victime ma nation. Les tours se sont effondrées tandis que ma mère et moi, à quelques mètres de là, étions coincées dans un embouteillage. Certes, ils sont monnaie courante à NYC. Ils ne sont jamais de cette envergure… Jamais… Nous apprîmes la nouvelle par flash infos sur une station radio. Ma mère, abasourdie, appela mon père qui racontait l’atrocité des images diffusées. Je comprenais seulement. Je ne réalisais pas totalement. J’ai pris conscience de la gravité des faits devant ma ville mutilée et la famille d’une de mes rares amies amputées d’un frère. Je crois que, au-delà de la passion pour les animaux que m’inculqua mon père, c’est devant le tableau désolant des gravats que sont devenus les deux tours que j’ai touché du doigt le rêve idéaliste de sauver le monde. Le rêve utopique auquel je m’accroche encore de toutes mes forces. *** Installé à la table de la cuisine, nous attendions mon père pour commencer à manger. Il avait une réunion importante aujourd’hui. Une réunion capitale pour son avenir. Certes, je n’avais pas totalement conscience des tenants et aboutissants de son issue. Néanmoins, j’avais bien compris, à la nervosité de ma mère, que la promotion qu’il attendait serait capitale pour notre avenir à tous. En effet, alors qu’en lieu et place d’une bonne nuit de sommeil, je les épiais en haut de l’escalier, j’avais vaguement compris qu’il était question d’un déménagement. Dès lors, je ne suis pas totalement à l’aise. J’ai, au fond du cœur, une angoisse profonde et tenace. Je n’ai jamais eu beaucoup d’amis. Je n’ai jamais attiré foules ou rassemblements en tout genre. Aucun mensonge n’a fait de moi la fille populaire que j’aurais voulu devenir étant plus jeune. Aujourd’hui, je me satisfaisais amplement de mon sort et de mon unique amitié avec Juliet. La quitter était pour moi synonyme de perte. Cette idée me semblait insurmontable. A qui vais-je confier mes secrets ? Avec qui pourrais-je être totalement moi ? Trouverais-je, sur ma terre d’adoption, une autre amie aussi fidèle et aussi intègre ? J’en doutais et j’étais morte de trouille. Je m’en rongeais les ongles et, transie d’anxiété, j’ai sursauté quand la porte de notre appartement s’est brusquement refermée. C’était lui, le tant attendu chef de famille qui, détenteur de cette décision contre laquelle je ne pourrais rien, apparut à la porte de la pièce de vie. Il s’est installé, nonchalant. A remercier maman qui nous servait nos assiettes sans que je ne touche jamais à la mienne. Ce soir-là, je n’ai rien avalé. Nous partions. Nous abandonnions nos vies, nos habitudes, notre quotidien, notre foyer. Nous quittions Manhattan pour le soleil. J’aurais aimé protesté. J’aurais voulu hurler. Mais, à quoi bon ? Je ne suis qu’une ado. Une ado à l’avis tout relatif. Je ferai mes bagages, comme tout le monde. Et je suivrai les leurs, impuissante et fataliste. *** En soi, apprendre le divorce de mes parents ne m’a que moyennement surprise : ils ne s’entendaient plus vraiment. Chaque jour, souvent à l’heure du dîner, une dispute sans précédent éclatait. Aussi, tristement habituée, j’embarque machinalement mon assiette que je mange seule dans ma chambre. Ils ne remarquent même pas mon absence. A s’hurler constamment les mêmes horreurs au visage, ils ne se préoccupent plus vraiment de moi. Ma mère, si attentive, ne m’interroge jamais plus ma vie sentimentale. Quant à mon père, je suis devenue un spectre à ses yeux. Mes résultats scolaires ne le préoccupent plus vraiment. J’ai tout tenté pour les faire réagir : de la fausse fugue en passant par nombres d’évaluations ratées, rien n’y fit. Je n’existais plus. Pourtant, je demeurais là, dans cette grande maison à l’ambiance pesante. Toutes leurs histoires me fatiguaient. Elles pesaient lourds sur mes épaules, il m’a fallut pourtant de longs mois pour me décider à quitter cet enfer indolent. Ce jour-là, je n’avais pas envie de rentrer chez moi. J’avais passé une dure journée et être à nouveau témoin de leur bassesse me fatiguait par avance. Pourtant, j’avais besoin de ma mère. J’avais besoin d’elle et de ses bons conseils. Je n’obtiens rien, pas même l’ombre de l’affection qui m’était nécessaire. En poussant cette demeure où je me sens à peine chez moi – Je n’ai toujours pas fait mon deuil de New York – je n’ai recueillis que des cris, des pleurs et des injures. J’ai fonc fait demi-tour. Je me suis réfugiée chez mon frère où j’ai trouvé le réconfort dont j’avais besoin. Je ne suis plus jamais partie. J’ai posé mes bagages et enfin, j’ai respiré. *** Autour de moi, les fous lèvent leur verre à la décadence et moi, je les imite. Je bois un premier verre, un second, ils s’enchaînent sans que je n’en mesure réellement les conséquences. Je ne bois jamais. Certes, je prétends fréquemment le contraire. En réalité, j’ignorais la brûlure des alcools forts dans l’œsophage. Évidemment, j’aurais pu renoncer à participer à cette beuverie. Vraiment. Il me suffisait de décliner poliment. Malheureusement, j’avais une réputation à tenir. À fabuler ma vie, je me suis retrouvée prise au piège. Ainsi, ai-je vacillé. Je ne marchais plus vraiment droit. Je hurlais des chansons d’enfant, je riais fort, je clopinais dans la maison de notre hôte sans trop savoir où j’allais. Je m’accrochais au mur pour ne pas trébucher jusqu’à cet instant fatidique où, croisant un regard électrique, j’ai fondu sur ses lèvres pour l’embrasser langoureusement. J’aurais pu m’excuser. Peut-être même aurais-je dû. Pourtant, aucun mot n’a pu quitter ma bouche. Aucun. J’étais prise d’une violence nausée qui m’a valu un détour rapide vers la salle de bain où je me suis enfermée. J’ignore si quiconque a frappé à cette porte, j’ignore même si elle a été défoncée afin de s’assurer de ma bonne santé. Je sais simplement que je me suis réveillée au côté de ma victime. L’homme, plus vieux et plus grand que moi, n’était pas dénué de charme. Au contraire, il semblait à mille lieues de cette réalité qui est mienne, celle-là même qui, peu flatteuse, m’oblige à me rappeler de ce qui m’est arrivé. Trou noir. Je l’interroge, il répond à peine. Ce que j’en sais, c’est qu’il a veillé sur moi aussi longtemps que nécessaire… et je ne l’ai plus quitté. HORS JEUPseudo C. Âge Oh, au moins ça. Prénom C. Où as-tu connu le forum? Facebook Ton personnage est un mini-scénario C'est qui ton pokémon préféré? Rondoudou ♥ Une suggestion ou un commentaire à nous communiquer ? Pour l'instant, rien. Si ce n'est qu'il est super attrayant. Le mot de la fin? Fin |
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| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 22:08 | |
| Haaan premier bienvenue et on me demande déjà un lien. Je dis OH OUI !!! Si j'osais, je t'enverrais un MP pour en parler déjà... |
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| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 22:23 | |
| J'ai fait mieux que ça. J'ai posté dans les mini-scénario... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 22:32 | |
| Juno, je l'aime tellement. J'ai hâte de voir ce que tu vas faire d'elle. Bienvenue parmi nous. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 22:33 | |
| Eli.... c'est qui cet avatar ? Je ne connais pas ? Il est genre super charmant !! Quelle personne de goût tu fais... d'autant que tu aimes Juno (j'en suis fan, depuis le temps que je voulais la jouer) En tout cas, merci pour ce message de bienvenue. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 22:34 | |
| Bienvenue Bon courage pour ta fiche Juno est un trop bon choix |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 22:35 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 22:39 | |
| Oui, elle est géniale. Elle a trop souvent des seconds rôles hélas. Il me tarde de voir son rôle dans le deuxième Sin City. Haha c'est Dylan Rieder, un skateur qui a fait quelques photoshoots également. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Mer 5 Fév - 23:00 | |
| Et bien, il est canon ce skateur...
Sandro et Isis, merci beaucoup. j'avais un peu peur sur le choix de l'avatar... vous me rassurez. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 0:14 | |
| Je me permets.. :sex: :lulu: |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 0:31 | |
| Histoire que la boucle soit bouclée !! :sex: |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 1:46 | |
| Han Juno Bienvenue miss ! En plus Chaplin quoi ! |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 12:17 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 13:01 | |
| Welcome welcome welcome Excellent choix ! Une véto en plus |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 14:40 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 14:48 | |
| Il y a que des BG sur ce forum ! Je sens que je vais bien m'amuser parmi vous |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 20:34 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 20:36 | |
| Bienvenue ici |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Jeu 6 Fév - 21:11 | |
| Merci les filles ! Vos persos ont l'air super pétillants. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » Dim 9 Fév - 18:53 | |
| bienvenue à toi, et bonne chance pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Eliott « Elle n’oubliait jamais le nom des rues et les numéros des immeubles. C’est sa manière à elle de lutter contre l’indifférence et l’anonymat des grandes villes, et peut-être aussi contre les incertitudes de la vie. » | |
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